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La bloperie d'hier soir

Publié le par jesuisenceinte-poussezvous

Quentin est allé hier soir assisté à deux autres conseils de classe: ceux des terminales. Comme je n'ai pas ces classes, je suis restée à la maison.

 

A son retour, il m'annonce:

_ "Le prof de SVT a insisté pour qu'on termine le conseil de classe des premières ES avant de faire celui des terminales ES, du coup je n'ai pas pu assister à la fin."

Grand blanc de ma part.

 

_ "PARDON??

_ Oui, tu as bien entendu.

_ Vous avez fait le conseil des premières ES?

_ Oui.

_ Sans leur prétendue note d'histoire???

_ Ils ont soudain trouvé une note à leur mettre, par miracle.

_ Et les profs ne sont pas prévenus?!

_ Eh bien, toi et moi, non. Les autres à la dernière minute, notamment le prof de maths, qui l'a appris à 13h... Et le prof de SES n'était pas là non plus.

_ Formidable! Et le prof de SVT qui voulait prolonger d'une semaine, c'était convenu?! On dit qu'on prolonge d'une semaine et d'un seul coup, c'est le lendemain?!

_ Et le meilleur: ils ont insulté les déléguées quand elles ont posé la question de savoir pourquoi tous les profs n'étaient pas là.

_ Quoi?!

_ J'ai répondu que plusieurs n'étaient même pas au courant, dont moi et toi, mais Blop a soutenu que nous avions été prévenus. Je lui ai demandé s'il me traitait de menteur, il a dit oui."

En entendant le récit de Quentin, j'ai les yeux écarquillés.

 

Blop a franchi une limite de trop.

Je démissionne.

 

J'ai appelé le DG pour lui laisser le message sur boite vocale, puisque Blop ne daigne répondre au téléphone.

Quelle bande de cons...!

Publié dans vie de maman

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La bloperie du conseil de classe

Publié le par jesuisenceinte-poussezvous

Chers lecteurs, je vous promets qu'il y a de quoi craquer.

 

Mercredi soir, c'était les conseils de classe des premières. Je suis prof principal en première S, le conseil s'est globalement bien passé, à l'exception de deux ou trois détails tels que les autres professeurs ont refusé de laisser parler mon délégué des élèves, mais ont pris 15 minutes pour s'énerver sur le fait qu'il fallait fermer la porte d'entrée du bâtiment entre les heures de cours...

Bon, que l'équipe pédagogique soit à côté de la plaque, ok.

Que M. Blop s'en mêle, au secours.

 

Puis vint enfin le conseil de classe des 1e ES.

 

Ah, les gens, ce fut mémorable.

 

Yann, mon collègue d'histoire, un français lui aussi, a une fracture de la vertèbre et est immobilisé au fond de son lit depuis... euh... 2 mois, au bas mot.

Yann, c'est le professeur principal de la 1e ES, et bien-entendu, il était prévu de longue date qu'il ne pourrait pas se déplacer et ressouder subitement sa vertèbre pour ce conseil.

 

Et quand il y a un problème de cet ordre, c'est au proviseur de remplacer le prof principal dans son travail. Comme notre proviseure Super-Blondie est encore en congé maternité jusqu'à dimanche, mercredi passé, elle n'était pas là et c'est M. Blop qui la remplace dans ses fonctions.

 

Donc, logiquement, M. Blop devait remplacer Yann pour le conseil des 1e ES.

 

M. Blop regarde autour de lui et dit:

_ "Bon. Qui se charge des 1e ES?"

Gros blanc. Je suis choquée.

_ "Mais M.Blop, je réponds, vous le saviez, n'est-ce pas, que Yann, le prof principal de cette classe, est cloué au lit à cause de son dos. Il ne peut même pas prendre l'avion pour espérer se faire opérer en France. Vous le saviez. Et quand un prof principal est en maladie, c'est à la direction d'assurer la relève. On ne vous a pas pris la veille au soir, vous aviez largement le temps de préparer ce conseil ou de désigner quelqu'un.

_ Ah non, c'est trop facile."

Puis, il commence à agiter les feuilles de son carnet de note.

_ "Bon, alors, on annule ce conseil?"

 

Le prof de SES s'était déplacé en annulant ses cours de l'après-midi à l'université pour pouvoir être là. Les élèves délégués attendaient depuis une heure.

Et le comble: aucun de nous ne souhaitait revenir une X-ième fois pour refaire un conseil que Blop n'avait juste pas été foutu de préparer.

 

_ "C'est bon! balancè-je, furieuse. Je vais imprimer les bulletins, pour peu qu'ils aient été remplis, parce que je n'estime pas trop difficile d'appuyer sur le bouton on d'une imprimante, en ce qui me concerne!"

Je me lève, j'imprime avec l'aide du CPE et du prof de maths, les bulletins de premier ET de deuxième trimestre.

 

Je reviens avec les bulletins.

Blop me sort:

_ "Ah mais les moyennes ne sont pas calculées. On ne peut pas faire un conseil de classe sans les moyennes.

_ M. Blop, au premier trimestre, nous n'avions pas les moyennes générales des élèves non plus, cela n'a pas empêché de faire un conseil de classe, je rétorque."

Mais deux ou trois profs approuvent qu'il faut impérativement les moyennes.

 

Comme il n'y a que 9 élèves, je distribue les bulletins et chacun calcule une moyenne. Enfin, nous allons pouvoir nous y mettre, quand j'entends:

_ "Ah, mais ils n'ont pas de note en histoire?

_ C'est coefficient 5, l'histoire. On ne peut pas faire un conseil sur base de moyenne qui ne contient pas la note d'histoire!"

Je me tourne vers les délégués.

_ "Vous avez eu des notes en histoire?

_ Non, madame. Pas ce trimestre.

_ Bon. Ils n'ont pas de note parce qu'ils n'ont pas fait d'évaluation en histoire, du fait de l'absence de Yann. On ne peut pas la pondre, cette note. Ils n'en ont pas, c'est tout. On se base sur la moyenne qu'on vient de calculer. Point barre."

Je suis ignorée. Blop poursuit dans son entreprise d'avortement du conseil de classe.

_ "Qu'est-ce que vous proposez comme solution à ce problème?

_ Il eut été pertinent de poser la question à un professeur d'histoire, monsieur Blop, réponds-je. Mais nous constatons que ni Yann, toujours malade, ni son remplaçant ne sont là; ce n'est pas à nous d'ingérer dans la gestion de leur matière.

_ Je propose qu'on prolonge exceptionnellement le trimestre d'une semaine pour cette classe, le temps qu'ils fassent une évaluation qui comptera sur le bulletin en histoire, balance le prof de SVT."

Deux ou trois autres approuvent, faute de mieux, et M. Blop enterrine la proposition.

_ "Bon. On a fini?

_ On peut faire la partie générale, faute de faire le cas par cas? demande la prof d'espagnol, approuvée par le prof d'anglais."

 

On a donc discuté 15 minutes de cette classe. Ensuite, c'était fini, comme le souhaitait l'incompétence faite homme, j'ai nommé M. Blop.

Bravo. Vraiment.

Publié dans vie de maman

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Les bloperies du moment

Publié le par jesuisenceinte-poussezvous

Le DRH de mon lycée, appelons-le monsieur Blop, et je vous jure, on pourrait écrire un roman sur les conneries qu'il fait.

Comme Raffarin et les raffarinades, j'ai décidé d'appeler cela des bloperies.

 

La dernière bloperie en date: accrochez-vous bien.

Les élèves de terminale de notre bahut ont eu le droit de modifier eux-mêmes leurs bulletins du deuxième trimestre, moyennes ET appréciations, afin de ne pas être "pénalisés" pour les inscriptions à l'université ou dans les grandes écoles. Les élèves, venus se plaindre à M. Blop de leurs médiocres résultats (en même temps, ils n'en foutent pas une, ces glandus!), ont obtenu son autorisation officielle de jouer avec l'ordi de la salle des profs pour avoir les bulletins qu'ils voulaient...

Formidable, non?

 

Ah, vraiment, le progrès pédagogique n'a plus de limite...

 

Je vais me coucher.

Je dois être en forme pour demain: je lui donne ma démission. Et aussi je le tape. Avec une enclume, très très fort.

 

Je le déteste...!

Publié dans vie de maman

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Mauritanian blues

Publié le par jesuisenceinte-poussezvous

Les gens, j'en ai marre de la Mauritanie.

 

La journée, j'ai trop chaud.

Le midi, j'ai faim et y a rien de comestible à manger à part du poisson, et le poisson me donne la nausée rien qu'à cause de l'odeur parce que je suis enceinte...

Le soir, je suis claquée, toujours pour la même raison, et les gens font la fête avec la musique à fond dans ma rue.

Le matin, je suis toujours claquée, et la mosquée me réveille à 5h du matin en hurlant "ALLAH WAKBA!"...

 

En plus de ça, j'ai la nausée quasiment tout le temps parce que je suis devenue hypersensible aux odeurs et l'ensemble de la ville pue. Vraiment très fort.

Elle pue le goudron qui chauffe sous un soleil de plomb et la gomme des voitures en ruine qui y laisse des traces, elle pue les gaz d'échappement, le gazoil et la fumée, elle pue les eaux stagnantes au quatre coins de la ville, elle pue les poubelles gisant partout dans les rues, au pied des maisons, devant les boutiques, elle pue les cadavres de chèvres ou de chiens errants en décomposition, morts là, de chaleur ou de manque d'eau, et laissés sur le bas-côté à la portée de qui voudra bien les renifler...

Elle pue la pollution que le vent ne chasse pas et que la chaleur empire.

Elle pue la mort et la saleté.

 

J'en peux plus.

Je voudrais être en train de respirer l'air pur de la montagne, l'odeur des sapins et des mélèzes, de la terre fraîche, de l'eau vive, de la boulangerie où les croissants sont au beurre, des pâturages de verdure, de la neige qui fond goutte à goutte... Je n'aurais jamais cru pouvoir dire ça un jour, mais les Hautes-Alpes me manquent. L'air frais me manque. L'oxygène me manque!!

 

J'ai hâte d'être fin juin et de rentrer pour inspirer à plein poumon l'odeur estivale de la montagne, m'acheter un vrai pain au chocolat, me prendre un énorme magret de canard aux pèches au Bistrot Gapençais, déguster une glace gapençaise au miel de lavande ou encore avoir un accès illimité à la culture, que ce soit en allant à la bibliothèque, au cinéma ou au théâtre, choses inexistantes ici.

 

Il y a des bonnes choses ici, des gens adorables, des endroits magnifiques.

Mais à la réflexion, rien ne me manquerait assez pour que je le regrette.

 

Après tout, Quentin et moi avons décidé d'en ramener un cadeau qui dure: le troisième prénom de notre futur bébé. Il y a une ville au sud, sur le fleuve Sénégal, dont le nom me parait tout aussi adapté à un garçon qu'à une fille: Kaedi.

La Mauritanie nous aura offert cela. Je crois qu'en attendre davantage serait exagéré.

 

Il est temps qu'on rentre.

Vivement juin.

Publié dans premier trimestre

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Number two

Publié le par jesuisenceinte-poussezvous

Ce matin, encore une tentative de dialogue échouée avec ma mère.

Nous voulions lui annoncer quelque chose d'important mais elle a fait mine de ne pas remarquer qu'on s'asseyait en face d'elle à table avec une nouvelle à dire; elle a fini son bout de pain, ramassé sa vaisselle et quitté la pièce sans nous parler avant d'agiter l'entièreté de la maison pour "aller à la plage".

 

Formidable.

Depuis une semaine qu'elle nous bassine avec sa plage... Parce que pour elle, se mettre en maillot devant tout le monde et rester au soleil à rôtir dans le sable est une activité incontournable à son bien-être, il fallait qu'elle y aille. Sauf que, manque de bol, notre taximan favori avait jusqu'hier un problème à son permi de conduire et ne pouvait donc quitter la ville pour la conduire à la plage.

 

Alors évidemment, c'était notre faute. Nous ne VOULIONS pas l'emmener à la plage, elle était notre victime malheureuse.

 

Mais bref, voilà qu'elle est donc à la plage.

Et elle est partie sans qu'on puisse rien lui dire, car comme toujours, si on veut annoncer un truc important à ma mère, il vaut mieux le faire par e-mail.

 

Peu importe, je vais vous le dire à vous.

 

Hier, je suis allée avec Quentin chez un nouveau docteur que je ne connaissais pas, le Dr Najjar.

C'est un gynécologue.

 

Lecteurs, un bébé numéro deux est a priori accroché au fond de mon utérus et gigotte tout plein quand on l'échographie.

 

Le petit hic, c'est son placenta. Il est tout troué, avec des lacs de sang.

Le gynéco ne sait pas d'où ça vient, il m'a conseillée de ne pas trop faire d'efforts en espérant que ça passera. Sauf que du coup, le placenta est plus fragile (du coup j'ai peur d'une fausse-couche!) et si les trous s'agrandissent ou se multiplient avec la croissance du placenta, il se peut que le placenta ne joue plus son rôle comme il faut (à savoir nourrir bébé) et qu'on ait un retard de croissance.

 

Voilà les risques.

Risque dont bébé deux se moque pas mal, en pleine forme, avec ses 43 mm (soit 4 cm de long, hihihi), et son énergie débordante, dansant le twist au fond de sa bulle.

 

C'est bizarre de me dire que j'ai une petite crevette dans l'aquarium pour la deuxième fois... et que ce n'est pas Amélia.

Il faut aussi que j'explique à Amélia qu'il faut arrêter de sauter sur le ventre de maman et de donner des coups de pied tout le temps, parce que le bébé avec sa bulle fragile n'aime pas trop ça...

 

Bref! Eh eh. Je vous tiens au courant.

Croisez les doigts pour moi, svp.

Publié dans premier trimestre

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Visite de la mamie

Publié le par jesuisenceinte-poussezvous

Lecteurs fidèles que je néglige, bonjour!

 

Depuis une semaine, ma mère est ici en Mauritanie pour "voir la petite" et se comporte vraiment de la pire des manières avec nous. Comme elle nous a acheté des meubles pour "nous aider dans notre installation" (il faut dire qu'on a une immense maison trop belle, donc il faut beaucoup de meubles pour la remplir), on ne peut rien lui dire.

 

C'est sa façon de fonctionner depuis toujours: elle achète des trucs chers pour qu'on se sente redevable et pouvoir agir en toute impunité.

 

Depuis que ma mère est là, ma fille régresse.

Elle ne parle plus autant ni aussi bien; elle s'exprime par couinement, larme et crise de nerfs pour obtenir de sa mamie tout et n'importe quoi.

Elle ne fait plus autant de signe pour se faire comprendre, surtout depuis que sa grand-mère lui a dit qu'elle ne comprenait rien à ses "gestes débiles" (l'art de générer des blocages d'expression, version gold, youpi).

Au petit-déjeuner, elle ne mange plus de tartine, de pain, de céréales, de compote ou jus de fruits, mais sa mamie lui donne "un petit chocolat kinder" (hum, le bon repas diététique qui commence bien la journée!).

 

Et je peux continuer comme ça longtemps.

 

Deux jours après l'arrivée de ma mère, sidérés par le changement de comportement d'Amélia, on a essayé d'en parler.

_ "Maman, tu sais, Amélia, d'habitude, elle n'est pas comme ça. Avec nous, elle mange à table et elle ne chouine pas toutes les deux minutes pour être au bras..."

Ma mère, se drapant de sa plus digne surdité, releva le menton et répondit en crachant du ton le plus mesquin:

_ "Ah mais bien-sûr, c'est ma faute, comme toujours!"

 

Pour, quelques jours plus tard, sortir une pique du type:

_ "De toute façon, tu lui donnes aucune éducation!"

Cohérence excessive qui s'assort fort bien avec la remarque désobligeante suivante:

_ "J'ai bien compris que maintenant, la petite, elle ne fait plus rien de ce qui lui plait, vous lui interdisez tout!"

 

Euh...

Si vous aussi, vous n'y comprenez rien, c'est normal. Il n'y a rien à comprendre, sinon que son but officieux mais néanmoins clairement assumé est de nous pourrir la vie jusqu'à nous rendre fous.

Quentin se retient de lui mettre une claque à chaque fois qu'il la voit ou presque. Et moi aussi, en fait.

 

Autre exemple énorme:

Hier soir, elle pose la petite par terre, puisqu'elle l'avait ENCORE au bras, et balance:

_ "Bon, je vais prendre une bonne douche, je suis fatiguée!"

Quentin, qui passait là, a donc dû comprendre: "Peux-tu s'il te plait prendre le relais avec Amélia afin que j'ai du temps?", phrase toute simple que ma mère est absolument incapable de formuler car cela lui demanderait, premièrement, de s'adresser directement à Quentin, ce qu'elle n'a encore pas fait une seule fois de la semaine, deuxièmement, d'être polie.

Quentin, qui donc a compris le message malgré l'incorrection de ma mère, se tourne vers Amélia, lui tend la main et lui dit:

_ "Viens me voir, Amélia. Mamie va à la douche, on va être ensemble."

Amélia, frustrée d'être par terre au lieu d'être, comme sa grand-mère l'habitue si bien, dans les bras en hauteur, s'est agrippée à sa mamie en râlant et en trépignant pour être reprise. Vraiment, ma fille avait une tête à claque à cet instant, et pourtant, vous savez combien je suis pour une éducation non violente sans claque ni fessée.

Pensez-vous qu'à cet instant, ma mère lui aurait dit d'aller rejoindre son papa? Lui aurait gentiment expliqué qu'elle allait revenir après la douche mais qu'elle avait besoin d'être un peu tranquille?

Nenni!

Ma mère a repris Amélia en sortant un truc plein de fiel à notre attention:

_ "Bon, ben puisque je peux pas avoir une minute à moi dans cette maison, je vais au bain avec elle!"

Puis a emmené Amélia dans la salle de bain avec elle.

 

Quentin était vert de rage. Il l'aurait frappée, vraiment.

Qu'est-ce qu'on apprend à ma fille, là? Qu'elle peut ignorer son père quand il lui parle? Qu'elle obtient ce qu'elle veut en trépignant? Que c'est la faute de ses parents si sa grand-mère est juste incapable d'être ferme une minute sur sa décision d'aller à la douche sans elle en suggérant d'aller jouer avec son père?!

Et c'est encore notre faute, le pire!

 

On arrive vraiment à bout de souffle.

Heureusement, elle repart dimanche. Mais comme dit Quentin, avec cette attitude merdique, je ne pense pas qu'on la laissera revenir; même si elle nous apporte du saucisson et des kinders quand elle vient et qu'elle paie un canapé fuschia à 2000 euros.

 

Un jour, je lui apprendrai peut-être la maturité, comme m'a dit Lucile, une copine de Gap. D'ici là, son comportement digne d'une ado de 15 ans qui fait la gueule à tout le monde, elle peut le montrer ailleurs.

Publié dans vie de maman

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